Loi « Anti Airbnb », la loi Le Meur : Tout ce que les propriétaires doivent savoir pour louer en toute sérénité

  • Accueil
  • Fiscalité
  • Loi « Anti Airbnb », la loi Le Meur : Tout ce que les propriétaires doivent savoir pour louer en toute sérénité
Loi Anti Airbnb

Loi « Anti Airbnb », la loi Le Meur : Tout ce que les propriétaires doivent savoir pour louer en toute sérénité.

 

Le 5 Décembre 2024,

Une réglementation qui suscite débat, mais pas d’inquiétude

La loi Le Meur, surnommée « loi Anti Airbnb », vise à encadrer les locations meublées de courte durée dans les zones tendues. Si elle soulève de nombreuses questions chez les propriétaires, il est important de garder une vision positive : la location courte durée reste un modèle d’investissement rentable et attractif, à condition d’être bien accompagné et de respecter les règles.

Dans cet article, Primo Conciergerie, adhérente du SPLM, vous explique les impacts réels de cette loi et pourquoi la location courte durée a encore de belles années devant elle. Découvrez comment vous pouvez continuer à maximiser vos revenus en toute conformité.

 


La loi Le Meur : Quels changements ?

 
1. La durée limitée à 90 jours pour les résidences principales

Dans certaines communes, la durée annuelle de location d’une résidence principale pourrait être abaissée à 90 jours au lieu des 120 jours actuellement autorisés. Paris, notamment, envisage déjà de mettre en place cette mesure.

Cependant, cette limitation soulève une grande question : comment cela peut-il réellement augmenter le nombre de résidences principales disponibles ? En réalité, réduire les jours de location ne transforme pas un bien en résidence principale supplémentaire. Cela illustre une contradiction importante dans l’objectif affiché par cette loi.

 
2. Des amendes dissuasives, mais évitables

Les amendes pour les propriétaires non conformes atteignent désormais jusqu’à 100 000 €. Cela peut concerner, par exemple, les locations illégales de résidences secondaires ou les déclarations erronées.

La bonne nouvelle ? En respectant les démarches administratives (déclaration à la mairie, respect des durées autorisées, etc.), vous éliminez tout risque. La clé est de rester informé et accompagné.

Ce que vous pouvez faire :
Demandez un audit personnalisé de votre situation pour vous assurer que votre bien est conforme et que toutes vos démarches sont en règle.

 

 
3. Le rôle des copropriétés renforcé

La loi facilite désormais les copropriétés dans leur capacité à interdire la location courte durée via un vote à la double majorité (article 26). Cela pourrait rendre l’activité plus difficile dans certains immeubles, notamment dans les zones urbaines.

Cependant, ces décisions ne se traduisent pas automatiquement par une interdiction. En participant activement aux assemblées générales et en mobilisant des soutiens, vous pouvez défendre vos droits.

Ce que vous pouvez faire :
Soyez présent lors des AG de copropriété, mobilisez vos voix et préparez vos arguments avec des professionnels pour éviter des votes défavorables.


 

 

Une réglementation critiquée, mais la location courte durée reste viable

Les limites d’efficacité de la loi

L’objectif affiché de la loi Le Meur est d’augmenter le nombre de résidences principales disponibles dans les zones tendues. Pourtant, la réduction à 90 jours ou les interdictions ponctuelles en copropriété n’ont pas d’impact direct sur la création de nouveaux logements. La loi se concentre sur des restrictions, mais ne résout pas le manque global de logements accessibles.

En réalité, la location courte durée reste une solution complémentaire à la crise du logement, en répondant à des besoins spécifiques : hébergements touristiques, logements professionnels temporaires, ou flexibilité pour les propriétaires.

Rester positif et confiant

Bien que cette loi impose de nouvelles règles, elle ne signe pas la fin de la location courte durée. Avec une gestion bien encadrée et une approche professionnelle, vous pouvez continuer à profiter des avantages de ce modèle tout en respectant les exigences légales.

 

Pourquoi choisir Primo Conciergerie pour vous accompagner ?

Chez Primo Conciergerie, nous croyons fermement que la location courte durée a encore un bel avenir, même dans ce contexte législatif. En tant qu’adhérent du SPLM, nous sommes engagés dans la défense de votre activité et travaillons avec les meilleurs experts juridiques nationaux, pour vous offrir un accompagnement complet.

Voici ce que nous vous proposons :

  • Un audit personnalisé : Vérifiez la conformité de votre bien et identifiez les opportunités d’optimisation.
  • Des conseils juridiques et stratégiques : Assurez-vous de respecter la loi tout en maximisant vos revenus.
  • Une gestion sécurisée et clé en main : Gagnez en sérénité en nous confiant l’accompagnement de votre bien.
 
Ce que tout propriétaire doit retenir
  • La location courte durée reste possible et rentable, à condition de respecter les règles.
  • La loi Le Meur ne résout pas directement la crise du logement, mais impose une vigilance accrue aux propriétaires.
  • En étant bien accompagné par des experts comme Primo Conciergerie, vous pouvez sécuriser votre activité et anticiper les changements.
 
Prenez les devants dès aujourd’hui

Ne laissez pas l’incertitude vous freiner. Contactez Primo Conciergerie et découvrez comment nous pouvons vous aider à naviguer dans ce nouveau cadre légal.

Primo Conciergerie : Louez mieux, louez plus !

 

X